Reprise
de l’itinéraire vers le vallon du Boulou.
Dans
la descente, un son de trompe régulier se fait de plus en plus net. Je
rencontre deux chasseurs (eh oui, ouverture de la chasse !). Ils m’expliquent
qu’ils tentent de rameuter leurs chiens au son de la trompe après une battue.
Un peu plus loin, je rencontrerai de fait deux chiens esseulés qui semblent
désorientés.
Je
gravis l’autre rive, j’enjambe le Gramoulou et je traverse une voie ferrée.
Après
Nouailhas, le chemin des Chênes mène à
Beynac. L’itinéraire se poursuit vers la vallée de la Vienne. Je descends
le long de l’Aixette. Le pont de Malassert, pont gothique dont il reste une
seule arche ogivale, m’induit en erreur. Après demi-tour, je traverse un parc
de loisirs et une base nautique. C’est ainsi que j’entre à Aixe-sur-Vienne. La variante du GR 654
en provenance de Limoges rejoint l’itinéraire principal.
Une
rue descend vers la confluence de l’Aixette et de la Vienne. Je longe la rive
de la Vienne jusqu’à l’entrée du camping municipal où nous avons dormi les deux
dernières nuits. Viviane m’y attend, stationnée au bord de la rivière.
La
table est sortie, l’auvent déroulé. Nous allons y passer l’après-midi. Viviane a cueilli des mûres dans la matinée
pour faire de la confiture dans le camping-car.
Dans
la soirée, nous invitons pour l’apéritif nos voisins immédiats, des
camping-caristes suisses avec qui Viviane a lié connaissance.
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